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EXERCICE

Complétez le texte suivant en ajoutant les pronoms relatifs qui manquent. Ajoutez une préposition s'il y a lieu.

Connaissez-vous John Kennedy Toole?

Je suis sûr qu'il y a bien peu de gens connaissent John Kennedy Toole. C'est lui a écrit "a confederacy of dunces", le titre français est "La conjuration des imbéciles", et porte en exergue une citation de Jonathan Swift, vous savez sûrement qu'il était l'auteur de Gulliver: "Quand un vrai génie apparaît, on peut le reconnaître à ce signe : les imbéciles sont tous ligués contre lui."

La Conjuration des imbéciles est un roman se déroule à la Nouvelle-Orléans, à la fin des années 60. Elle met en scène un énorme universitaire le nom est Ignatius Reilly. Ce personnage est un admirateur fervent du Moyen Age, et ce il rêve, c'est de mener des croisades contre le monde moderne.

Le plus cher désir de sa mère, a un penchant certain pour la bouteille, serait qu'il trouve un emploi ils puissent vivre tous les deux. Mais chacune de ses expériences se termine par un désastre aurait rendu Don Quichotte jaloux.

Il a une ancienne petite amie, une certaine Myrna Minkof, habite à New York, et l'occupation principale est la psychanalyse, surtout celle d'Ignatius. Elle pense que ce il aurait le plus besoin, c'est de sexe. Et elle lui envoie de nombreuses lettres, mettent le brave Ignatius en colère. Pour lui en imposer, il essaie de mettre au point des croisades modernes. Employé dans une usine de pantalons, appartient à un nommé Lévy, il essaie de rassembler les ouvriers noirs y travaillent pour qu'ils se révoltent contre leur patron, patron s'intéresse beaucoup plus au sport qu'aux pantalons.

Cette croisade tourne mal, et Ignatius se retrouve bien vite à la porte des Pantalons Lévy. Il trouve ensuite un emploi comme vendeur de saucisses, portent le doux nom de "Hot dogs Paradise". Ignatius, malgré ses nombreux diplômes universitaires, se voit obligé de pousser une voiture en forme de saucisse, avec il arpente les rues du quartier français de la Nouvelle-Orléans. Ignatius, est doté d'un grand appétit, mange les saucisses il aurait dû vendre les unes après les autres. Il est alors obligé d'inventer des histoires pour expliquer à son patron pourquoi il ne rapporte ni les saucisses lui avait été confiées, ni l'argent il aurait dû rapporter à son patron. Comme le quartier dans il travaille est plutôt mal fâmé, il raconte que des gens l'ont attaqué, et qu'ils lui ont volé les saucisses et l'argent.

Au cours des voyages il effectue dans le quartier, il fait la connaissance d'homosexuels des deux sexes. Il finit par se faire inviter à une réception l'un de ces jeunes gens donne, et veut y faire un discours, il a préparé avec soin, sur la prise du pouvoir par les homosexuels. Malheureusement, ceux-ci ne s'intéressent pas du tout à ce il leur raconte, et la réception se termine en bagarre générale.

Cette histoire se double d'histoires secondaires: celle d'un noir travaille dans un bar louche, et la patronne essaie d'arrondir ses fins de mois en vendant des photos pornographiques à des lycéens boutonneux, celle d'un policier son chef persécute, et fait ses enquêtes dans des déguisements lui sont imposés par son chef, celle de la mère d'Ignatius, rencontre un petit vieux elle ne sait pas si elle doit l'épouser, celle de Myrna, essaie de psychanalyser, dans des positions couchées, divers hommes elle abandonne bientôt après, sans oublier celle de M. Lévy, la femme a pris des cours de psychanalyse par correspondance, et passe la moitié de sa vie sur une planche de massage électrique, son mari lui a offerte, et l'autre moitié à donner des idées saugrenues à son mari.

Le style de l'auteur est époustouflant. Les personnages semblent sortis de Rabelais, de Cervantès ou de Dickens: Ignatius, inadapté au monde moderne, et la mère ne comprend pas le génie; Myrna Minkof, les contestations des années 60 ont un peu désorientée; Darlène, la strip-teaseuse, fait un usage inattendu d'un perroquet; Lana Lee, la patronne rapace des "Folles Nuits"; l'agent Mancuso, le policier le plus incompétent de toute la Louisianne; et beaucoup d'autres, les affrontements, les entreprises sombrent obligatoirement dans le grotesque ou la catastrophe.

L'auteur de ce roman s'est suicidé en 1969, à l'âge de trente-deux ans, parce qu'il n'avait aucun succès. C'est sa mère, avait pris conscience de la valeur du livre, a fait le siège de plusieurs maisons d'édition. Enfin, elle réussit à faire publier ce livre en 1976. Ce livre connut alors un immense succès, vient couronner en 1981 le prix Pulitzer du Roman. Pour son auteur, il est trop tard. Quant au lecteur, il se prend à regretter qu'il ne pourra jamais y avoir de suite à l'ouvrage il vient d'achever la lecture.

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