Règle 1: Lorsque l'idée contenue dans la subordonnée est présentée comme douteuse, souhaitable ou fortement subjective, on emploie le subjonctif.
Il existe un fort grand nombre d'expressions. Nous allons nous limiter à une liste, que vous pourrez compléter par analogie.
Règle 2: Mais lorsque l'idée contenue dans la subordonnée est présentée comme sûre, on emploiera l'indicatif.
Comme pour les verbes d'opinion ou de pensée suivis de l'indicatif à l'affirmative, ces tournures impersonnelles suivies de l'indicatif, et qui désignent quelque chose de sûr, deviennent incertaines à la forme négative, et douteuses à la forme interrogative. Elles sont donc suivies, aux formes négative et interrogative, du subjonctif.
Le français moderne accepte aussi l'indicatif dans les mêmes conditions que pour les verbes d'opinion ou de pensée.
© Jean Piètre-Cambacédès & Christian Meunier